Lettre de Philippe Trocmé du 4 mars 2005
(avec l’autorisation des enfants de Mr Trocmé)

(…) Quand je suis arrivé, en 1964, à la SEDES, moi grand ancien et totalement novice sur les problèmes qui s’y traitaient, sa gentillesse et sa générosité ont grandement facilité mon insertion dans ce milieu de jeunes et brillants économistes. Des dix ans que nous avons vécus côte à côte, je conserve les précieux souvenirs d’une franche et loyale amitié. De tout cela je lui reste profondément reconnaissant.

Il avait certainement encore beaucoup à dire et à écrire sur les problèmes du développement dans le monde auxquels il a consacré toute son intelligence et sa foi. Nombreux sont ceux qui ressentiront sa disparition comme une perte irremplaçable (…).

Philippe Trocmé