Lettre de Jean Marcillac du 30 janvier 2005

L’article du Monde m’a paru très juste. J’ai gardé de lui, comme à la Sedes, le souvenir d’un « juste », passionné, attentif et imaginatif.

J’ai regretté de ne pas avoir revu tous les anciens de la Sedes et lui en particulier, mais j’ai terminé ma carrière loin de Paris et nous nous sommes installés dans l’Aude pour notre retraite.

J’aurai été heureux de poursuivre ses recherches et rapprochant méthode des effets et méthodes des surplus (Cerc), mais je m’occupe ici d’activités plutôt « sociales » et serais bien seul pour des recherches économiques (…)

Jean de Marcillac

31 janvier 2005