Lettre d’Antoine Roger-Estrade du 2 fevrier 2005

(…) nous nous sommes rencontrés avec le plus grand plaisir, par hasard, quai Voltaire. Nous avons bavardé un long moment, évoquant avec nostalgie l’époque de la SEDES. J’avais pour lui une grande admiration pour ses qualités de rigueur morale et sa droiture. Il en avait fait la preuve dans plusieurs circonstances de sa vie, notamment en Algérie où il a eu une conduite exemplaire.
Je suis triste à la pensée de sa disparition brutale. Les meilleurs d’entre nous disparaissent toujours trop tôt. (…)

        Antoine Roger-Estrade
        2 février 2005